Selon la présidence ukrainienne, la Hongrie n’est pas le premier pays à réclamer un cessez-le-feu
La Hongrie n’est pas le premier pays à réclamer un cessez-le-feu sur le champ de bataille en Ukraine, mais la position de Kyiv sur la manière de parvenir à la paix est bien claire.
« La Hongrie n'est pas le premier pays à parler d'un cessez-le-feu. Le Président ukrainien a écouté son interlocuteur, mais en réponse, il a exprimé sa position, qui est claire, compréhensible et connue. L'Ukraine veut vraiment la paix, et nous disposons d'un outil pour cela : l'Ukraine a organisé le premier sommet de paix inaugural et se prépare au deuxième », a expliqué Ihor Zhovkva, chef adjoint de l’Office du président ukrainien.
Selon lui, si la Russie ne parle pas le langage des ultimatums, ses représentants pourront assister au deuxième sommet d'une manière ou d'une autre.
Comme Ukrinform l’a déjà relevé, le Premier ministre hongrois Viktor Orban, qui effectue mardi sa première visite en Ukraine depuis le début de l'invasion russe, a exhorté le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, à envisager au plus vite « un cessez-le-feu » afin de parvenir à la paix.